Puisque l'homme d'abord touché la lune et il introduit des morceaux de retour sur Terre, les scientifiques ont pense que la surface de la Lune reste sec. Mais de nouvelles observations de trois différents engins spatiaux ont mis cette notion au repos avec ce qu'on a appelé "preuve non équivoque» de l'eau à travers la surface de la lune.
Le nouveau résultats, détaillés dans le numéro 25 septembre de la revue Science, intervenir dans les sillage de preuve supplémentaire de lunaire l'eau des glaces polaires par la NASA, Lunar Reconnaissance Orbiter et quelques semaines seulement avant la prévues Impact sur la Lune LCROSS du satellite de la NASA, qui a frappé l'un des en permanence l'ombre des cratères au pôle sud de la lune dans l'espoir de brassait preuves de dépôts de glace d'eau dans le domaine des débris. 
La lune plus sec que n'importe quel désert sur la Terre reste, mais l'eau dit-on d'exister à la Lune en très petites quantités. Une tonne de la couche supérieure de la surface lunaire tiendrait environ 32 onces d'eau, selon les chercheurs.
"Si les molécules d'eau sont aussi mobile que nous pensons qu'ils sont - même d'une fraction d'entre elles - elles donnent une mécanisme permettant d'obtenir l'eau à ceux d'ombre des cratères de façon permanente ", a déclaré planétaires Carle Pieters géologue de l'Université Brown de Rhode Island, qui a dirigé l'un des trois études en science sur la Lune trouver, dans un communiqué. "Cela ouvre son ensemble nouvelle voie [de la recherche lunaire], mais nous devons comprendre la physique de celui-ci d'utiliser il. "
Trouver l'eau sur la Lune serait une aubaine pour les possibles avenir bases lunaires, Agissant comme une source potentielle d'eau potable et de carburant.
Apollo tourne à sec
Quand Apollon astronautes de retour de la lune il ya 40 ans, ils ont ramené plusieurs des échantillons de roches lunaires.
La lune roches ont été analysés pour des signes d'eau liée aux minéraux présents dans les roches; tandis que des traces d'eau ont été détectées, on a assumé d'être contamination de la Terre, parce que les conteneurs, les roches sont revenus en avait leaked.
«Le isotopes de l'oxygène qui existent sur la lune sont les mêmes que celles qui existent sur Terre, il est donc difficile voire impossible de faire la différence entre l'eau de la lune et l'eau de la Terre », a déclaré Larry Taylor, de la University of Tennessee, Knoxville, qui est membre de l'un de la NASA construit équipes instrument pour le projet indien Chandrayaan-1 par satellite et a étudié la Lune Depuis les missions Apollo.
Pendant que scientifiques ont continué de croire que eau dépôts de glace n'a pu être trouvé dans les endroits les plus froids de cratères du pôle Sud que jamais vu la lumière du soleil, le consensus est devenu que le reste de la lune reste sec.
Mais de nouveaux observations de la surface lunaire faite avec Chandrayaan-1, NASA, Cassini vaisseau spatial, et la sonde Deep Impact de la NASA, demandent que le consensus dans question, Avec des détections multiples du signal spectral de soit de l'eau ou le groupe hydroxyle (de l'oxygène et l'hydrogène lié chimiquement).
Trois vaisseau spatial
Chandrayaan-1, Inde première sonde lunaire, visait à cartographier la surface lunaire et la détermination de sa composition minérale (mission de l'orbiteur terminé 14 mois prématurément en août après une défaillance brusque). Alors que la sonde était encore active, de ses NASA construit Moon Mineralogy Mapper (M3) a détecté les longueurs d'onde de lumière réfléchie sur la surface qui indique la liaison chimique entre l'hydrogène et l'oxygène - le signe révélateur de l'eau ou hydroxyle.
Parce M3 ne peut pénétrer dans le haut de quelques millimètres de régolite lunaire, le nouveau d'eau observé semble être à ou près de la surface lunaire. Observations M3 aussi a montré que le signal de l'eau a gagné en force vers les régions polaires.
Cassini, qui passait par la lune en 1999 sur son chemin vers Saturne, prévoit la confirmation de ce signal avec son propre légèrement plus forte de détection de l'eau / hydroxyle signal. L'eau devra être absorbé ou piégés dans le verre et minéraux à la surface lunaire, écrit Roger Clark, de l'US Geological Survey dans l'étude détaillant les conclusions de Cassini.
La mission Cassini données montrent une répartition mondiale de signal de l'eau, mais il semble aussi près des pôles forts (et faibles dans les mers lunaires).
Enfin, la sonde Deep Impact, dans le cadre de sa mission prolongée EPOXI et à la demande de l'équipe M3, a fait détections infrarouge de l'eau et hydroxyles dans le cadre d'un exercice d'étalonnage lors de plusieurs approches de clôture de la Terre-Lune système en cours de route à son survol de la comète prévue 103P/Hartley 2 en Novembre 2010.
Deep Impact détecté le signal à toutes les latitudes supérieures à 10 ° N, mais une fois de plus, le pôles ont montré les signaux les plus forts. Avec ses passages multiples, Deep Impact a été pu observer les mêmes régions à différents moments de la journée lunaire. A midi, lorsque les rayons du soleil étaient les plus forts, la fonctionnalité de l'eau était plus bas, tandis que dans le matin, la fonctionnalité a été plus forte.
«Le Deep Impact observations de la Lune, non seulement de confirmer sans équivoque la présence de [eau / hydroxyle] sur la surface lunaire, mais révèlent aussi que la toute la surface lunaire est hydratée pendant au moins une partie de la lune jour ", les auteurs ont écrit dans leur étude.
Le résultats de toutes les trois satellites "fournir la preuve sans équivoque pour la présence d'hydroxyle ou de l'eau », a déclaré Paul Lucey de l'Université de Hawaï dans un essai d'avis accompagnant les trois études. Lucey n'a pas été impliqués dans l'une des missions.
Le nouveau données "invite à un réexamen critique de la notion que la lune est sec. Ce n'est pas, "a écrit Lucey.
Où l'eau provient de
Ensemble, Les résultats montrent que non seulement la lune hydratée, le processus qui rend est ainsi un processus dynamique qui est dicté par l'évolution quotidienne du rayonnement solaire frapper n'importe quel point donné sur la surface.
Le soleil pourrait aussi avoir quelque chose à voir avec la façon dont l'eau arrivé là.
Il ya potentiellement deux types d'eau sur la Lune: qui a permis à partir de sources externes, comme aquifères comètes frappant la surface, ou que la naissance sur la lune.
Cet Deuxièmement, endogène, la source est la pensée de venir éventuellement de l'interaction de le vent solaire avec des roches lunaires et les sols.
Les roches altérites et qui forment la surface lunaire sont environ 45 pour cent d'oxygène (combinés avec des éléments autres que les minéraux essentiellement de silicates). Le vent solaire -- le flux constant de particules chargées émises par le soleil - sont pour la plupart protons, chargés positivement ou atomes d'hydrogène.
Si le facturés hydrogènes, qui se déplacent à un tiers de la vitesse de la lumière, a frappé le surface de la Lune avec assez de force, ils se brisent liaisons sur l'oxygène dans le sol matériaux, Taylor, les suspects M3 membre de l'équipe. Lorsque l'oxygène libre et d'hydrogène existent, il ya de fortes chances que de petites quantités d'eau vont se former.
Les divers chercheurs de l'étude suggèrent également que la déshydratation et la réhydratation des quotidiens la trace d'eau sur la surface pourrait conduire à la migration des hydroxyles et l'hydrogène vers les pôles, où il peut s'accumuler dans les pièges à froid de la en permanence l'ombre régions.
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