La plupart des fournisseurs doit deviner ce que les clients veulent acheter, et comment ils vont s'en servir. Pour IBM, cependant, avec environ 400.000 employés, il a le potentiel d'être son propre laboratoire meilleur, celui qui devient encore plus puissant lorsqu'il est mélangé avec la participation active dans les communautés open-source.
Ce potentiel, comme je l'ai découvert lors d'un entretien vendredi avec Jeff Schick, vice-président d'IBM de logiciels sociaux, n'est pas un gimme "," mais qui est puissant, si vous pouvez activer la bonne sorte de culture d'entreprise et des processus.
Par exemple, Schick a mentionné que IBM a un programme d'adoption de la technologie pour les employés qui s'étend sur toute la gamme de nouveaux produits, des add-ons et des patches pour les produits existants, et encore les technologies premières directe à partir des laboratoires d'IBM. Bien que la liste d'invitation et le processus est différent pour chaque point particulier, IBM encourage généralement ses groupes de produits à «expérimenter» sur l'autre. Le plus tôt dans le processus de développement, mieux c'est.
Au cœur de cette approche ouverte de l'adoption des technologies sont des standards ouverts et open source. Lorsque j'ai appuyé sur Schick sur l'importance relative des deux ( «Si seulement vous pouviez choisir des normes ouvertes ou open source, quel serait-il?"), Il a répondu:
Nos produits incluent mai composants open-source, et le font souvent, mais les normes ouvertes sont en fin de compte le facteur le plus important pour les clients. En tant que clients d'intégrer nos produits dans leurs systèmes d'entreprise différentes, les normes ouvertes sont essentielles pour assurer leur fonctionnement.
Dont acte, mais c'est impressionnant à quel point l'open source influence le développement de produits d'IBM. Gartner estime que 80 pour cent des applications commerciales comprendront des composants "open-source d'ici 2012. Chez IBM, le numéro de mai-être même plus élevé.
Malgré IBM ne libère pas ses produits de logiciel de base sous des licences open-source, Schick a noté à quel point intégrante de l'open source est à IBM:
Dans une perspective de développement, comme nous construisons nos produits logiciels sociaux dans Lotus, nous cherchons toujours des façons d'améliorer la qualité et temps d'accès au marché. Open source permet souvent de nous avec ces deux domaines.
Par exemple, nous avons été blogging au sein d'IBM pendant longtemps avant de décider de construire le produit Lotus Connections, qui se rapproche rapidement des centaines de millions d'utilisateurs. Après quelques études, nous avons décidé de construire le morceau de blogs de Lotus Connections en utilisant le projet Apache Roller, an open-source du logiciel Java blog. Nous sommes devenus des collaborateurs actifs au projet depuis lors.
Mais ce n'est pas seulement dans Lotus Connections. Quand vous regardez à travers presque toutes les capacités de l'ensemble de notre stratégie sociale-software, open source joue un rôle critique. L'open source est une partie intégrante de la façon dont nous construisons des produits. Nos ingénieurs sont très en phase avec la grande variété de composants open-source qui sont à leur disposition, et à l'utilisation et de contribuer à leur disposition. Régulièrement.
IBM semble avoir compris mieux que quiconque comment marier le laboratoire mondial open-source avec un laboratoire interne massive. Parler à Schick, il semble y avoir une ligne très floue entre "internes" du développement et «externe» de développement, donnant à la société un avantage considérable sur propriétaires (Microsoft) et open-source (Liferay, Open-Xchange) Les concurrents de même.
Certains concurrents mai pouvoir face à l'ampleur d'IBM, mais peu à aucun n'a réussi à marier échelle interne (salariés) à la puissance d'échelle externes (de l'open-source) dans la façon dont IBM a fait.
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